malcy a écrit :
j'avais ma femme a l'epoque qui en utilisait et je n'ai jamais vu de changement :mrgreen: mais comme elle etait deja parfaite c'etait compliqué
Il est plut├┤t difficile d'améliorer la perfection, par contre j'espère pour toi que l'actuelle n'a pas accès au forum car plus jalouse qu'une fille envers son ex y'a pas.
L'électrostimulation ne travaille que le muscle et donc la musculation ├á contraction volontaire est obligatoire car elle va aussi travailler les tendons et solliciter les ligaments, et les os. Jusqu'├á tout le monde est d'accord.
(Il faut maintenant ne pas prendre n'importe quoi comme appareil, ├ºa représente un budget assez important)
Je suivrai Gilles Cometti pour remplacer une séance de muscu par une d'électrostimulation.
Extrait:
Les progrès en force:
Ils sont variables en fonction du groupe musculaire stimulé, de la spécialité des athlètes, de
leur niveau de pratique, du stimulateur utilisé.
Dans les exemples qui vont suivre nous utilisons toujours le même protocole :
3 séances par semaine de stimulation, la séance de stimulation dure 10 mn pour un rythme de
5 secondes de contraction et 15 secondes de repos. La période de stimulation est de trois
semaines. Le stimulateur utilisé est du type Compex Sport.
2.2.2) Avec des coureurs de vitesse :
Sur le quadriceps (fig 1), les progrès en force mesurés au Biodex (Ratton, Cometti) ont été de
52 % pour le groupe stimulé. Le groupe témoin ne travaillant pas en électrostimulation ne
progressa que de 14 %. Le stimulateur était du type Compex. Les athlètes stimulés
travaillant en moyenne à 80 % de la FMV.
2.2.3) Sur des lutteurs :
La stimulation du biceps brachial (Gillet, Cometti, 1990) sur la m├¬me période (3 semaines ├á
raison de 3 fois 10 mn par semaine) a montré un gain de force de 14 % chez des athlètes
travaillant à 60% de leur maximum volontaire.
2.2.4) Chez des boxeurs :
L'entra├«nement par électrostimulation du triceps brachial (Champion, Pousson, 1991) s'est
traduit par un progrès de 18,5% de la force maximale avec un Compex. Les athlètes se
stimulant en moyenne à 60% de leur force maximale.
2.2.5) Chez des étudiants en éducation physique :
Il s'agissait cette fois de stimuler le triceps sural (Martin, Cometti, 1991), les progrès en force
ont été de 31,2% avec un stimulateur de type Compex et des contractions de l'ordre de 63 %.
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En conclusion l'amélioration de la force chez des sportifs est une chose réelle sur de
nombreux groupes musculaires, les résultats sont toutefois extr├¬mement variables en fonction
des groupes musculaires et des stimulateurs utilisés.
Voila un document de lui aussi: