gegedu17 a écrit :
c quoi cette histoire d'aspartam?
et puis moi pas de risque que je fasse du yoyo avec mon poids car sans proteine je pense que je n'arriverai jamais a grossir....*
on est pas tous egaux au niveau du metabolisme...
pulsar j'ai prit les 4 au citron on verra bien :mrgreen: merci pour les conseils!
Des proteines y'en a partout, et ce n'est pas suffisant pour 'grossir'...
L'aspartam je te fais la synthèse vite fait:
Connu dans 90 pays, l'aspartame se retrouve dans près de 9000 breuvages (dont la plupart des light) et aliments transformés (dont un certain nombre pour nourrissons, ou encore petit-dejeuners instantanés, chewing-gum, desserts glacés). Il est egalement present, sans mention sur l'emballage, comme agent sucrant dans des vitamines et suppléments synthetiques. De plus, revenant moins cher et à pouvoir sucrant supérieur, l'aspartame remplace ou cotoie tres souvent le sucre dans le chocolat industriel et de nombreuses confiseries.
L'aspartame a été approuvé pour l'alimentation humaine en 1981, puis en 1993 apte à la cuisson (en dépit de son instabilité chimique !), par la Food and Drug Administration (FDA) américaine, celle-ci, immédiatement suivie par toutes les agences gouvernementales homologues des autres pays.
Pourtant, confirmant de nombreuses études, la FDA a publié un rapport gardé confidentiel faisant état de plus de 10 000 plaintes déposées par des consommateurs (*) énumérant plus de 92 symptômes -majoritairement neurologiques- liés à la consommation d'aspartame.
L'aspartam (aspartyl-phenylalanine-methyl-ester), est composé notamment de methanol (alcool methylique, ou encore « alcool des bois » à la toxicité est bien connue des diabetistes), de phenylalanine et d'acide aspartique.
Or, le methanol lorsqu'il subit une oxydation catalytique, c'est à dire lorsque par exemple, il est chauffé à 86° Fahrenheit (30° Celsius donc une situation très courante en été), se transforme en acide formique et en formaldehyde. Ce dernier est classé comme le cyanure ou l'arsenic, car fortement cancerigene à long terme, il cause, en cas d'ingestion chronique, des dommages neuro-genetiques et immunologiques.
Ainsi une intoxication au methanol peut entraîner :
- une acidose metabolique, c'est à dire une rupture de l'equilibre acido-basique en faveur de l'acidité.
- une reaction de type diabetique, en rendant le niveau de sucre dans le sang incontrolable avec les consequences connues du diabete sur l'ouie et la vue (le formaldehyde s'accumule dans la retine : retinopathie, et provoque une baisse marquée de l'acuité visuelle).
- un besoin maladif d'hydrates de carbone donc une prise de poids (l'effet inverse de celui recherché !) car le formaldehyde s'accumule dans les cellules graisseuses particulierement dans les hanches et les cuisses.
- des symptomes comparables à ceux de maladies auto-immunes comme la sclerose en plaques, du lupus systemique ou de la fibromylagie.
Ainsi la phenylalanine devient neurotoxique lorsqu'elle se transforme en DKP (aspartylphenylalanine diketopiperazine) responsable au mieux de migraines et vertiges, et au pire de tumeurs au cerveau (car il a la faculté de passer la barriere hemo-meningée) Ainsi, elle :
- modifie le taux de dopamine dans le cerveau : le neurochirurgien R. Blaylock parle d'excito-toxines.
- reduit fortement les capacités cognitives (memorisation, elocution, coordination des mouvements).
- provoque précocément et aggrave les maladies neurologiques telle la maladie d'Alzheimer .
- fait chuter le taux de serotonine (aux effets comparables à l'histamine)
- conduit à des crises maniaco-depressives, des paniques suicidaires, ou des accès de rage ou de violence.
- serait impliqué dans la stérilité et des problemes au niveau des organes reproducteurs.
- se concentre dans le placenta chez les femmes enceintes et fait naître des déficients mentaux.
En France, un arrêté de 1975 définissait les doses maximales acceptables dans les boissons et les denrées alimentaires. Ce n'est même plus le cas : aujourd'hui, la quantité est laissée à l'initiative du fabricant. Le service de la répression des fraudes confirme ne plus avoir à effectuer de contrôle du glutamate dans l'alimentation.
L'AFFSA ne veut pas de polémique au sujet des édulcorants et laisse faire.